La semaine dernière j'ai eu la chance d'être invité au Rocher de Palmer, salle de spectacle, entre autres, qui vient d'ouvrir à Cenon près de Bordeaux.
C'est moderne, tout neuf, accueillant et beau comme un vaisseau spatial.
C'est moderne, tout neuf, accueillant et beau comme un vaisseau spatial.
Il y avait là un groupe de Johannesburg dont je n'avais jamais entendu parlé : Tumi & The Volume. Du Hip-hop Sud-Af y parait. Pourtant j'y suis allé il n'y a pas si longtemps, chez les Zoulous, mais c'était pour voir des girafes et des hippopotames, ceci expliquant sans doute cela.
Le Tumi a une pêche d'enfer, un discours sympathique. Sa petite sortie sur les retombées de la coupe du monde en Afrique du Sud a été écoutée religieusement par la petite foule présente, qui j'en suis sûr n'en avait rien à cirer, en temps normal, du foot.
Ce fut la séquence émotion de la soirée. Pourtant si ils avaient lu mon billet Rond & con à la fois, ils n'auraient pas été si surpris. mais que voulez-vous nul n'est prophète en son pays, et encore moins dans celui des autres.
Ce fut la séquence émotion de la soirée. Pourtant si ils avaient lu mon billet Rond & con à la fois, ils n'auraient pas été si surpris. mais que voulez-vous nul n'est prophète en son pays, et encore moins dans celui des autres.
Bref les quatre gars sur scène étaient très bons. Le batteur, un petit black sec et survolté habillé en garçon de café, tenait un tempo d'enfer. Le guitariste, sorte de dandy blanc des quartiers chics se la jouait tranquille et précis. Il a tenté un trait d'humour sur notre niveau en anglais qui malheureusement pour lui a été compris, et a fait tomber sa private joke aux oubliettes des blagues moisies. Il est retourné à sa gratte et tout est rentré dans l'ordre.
Le bassiste ressemblait a un programmeur américain des années 1970, avec une idée derrière la tête (on ne saura sans doute jamais laquelle), et enfin Tumi, le sympathique et débonnaire chanteur a réussi à faire chanter la salle alors que peu d'entre nous parlaient couramment l'anglais (maintenant qu'ils sont partis, je peux vous l'avouer), et encore moins le Zoulou, du moins en début de soirée, car le bar de la salle a également eu un gros succès.
Le bassiste ressemblait a un programmeur américain des années 1970, avec une idée derrière la tête (on ne saura sans doute jamais laquelle), et enfin Tumi, le sympathique et débonnaire chanteur a réussi à faire chanter la salle alors que peu d'entre nous parlaient couramment l'anglais (maintenant qu'ils sont partis, je peux vous l'avouer), et encore moins le Zoulou, du moins en début de soirée, car le bar de la salle a également eu un gros succès.
Je vous met une vidéo trouvée sur le net qui ressemble bien a ce que nous avons vécu ce soir là.
Enjoy.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire